Nigeria /People : Ned Nwoko accuse Regina Daniels de toxicomanie
Le mariage très médiatisé entre l’actrice Nollywoodienne Regina Daniels et le sénateur nigérian Ned Nwoko traverse une nouvelle crise. Face à une vidéo virale où Regina Daniels évoque des actes de violence conjugale, Ned Nwoko vient de publier une déclaration explosive liant ces tensions à la consommation de drogues et d’alcool de son épouse.
Dans un message publié sur son compte X (anciennement Twitter) le 19 octobre 2025, le sénateur affirme que « Regina n’a pas toujours été comme ça. Son actuel combat contre les drogues et l’alcool est la racine de nos problèmes ». Il nie catégoriquement être l’auteur de violences, précisant cependant que son épouse serait à l’origine d’agressions : « Regina est la violente dans cette histoire… elle a giflé trois membres du personnel, détruit des biens, notamment des voitures et des fenêtres, sans raison valable ».
Le sénateur explique avoir proposé un traitement de réhabilitation soit à Asokoro (Nigeria), soit à l’étranger (notamment en Jordanie) à son épouse, où « elle n’aura pas accès aux drogues », sous peine que sa vie et sa sécurité soient en danger. Il pointe aussi du doigt deux proches de Regina : son frère, Sammy West, et une certaine « Ann », comme étant ses principaux pourvoyeurs. « Un chaos orchestré à domicile », écrit-il.
Cette prise de parole intervient dans un contexte tendu, après qu’une vidéo montrant Regina Daniels, en larmes, s’exclamant « Dans la maison de Ned je suis rien, mais dans ma propre maison je suis une reine… je ne peux plus supporter la violence », ait déclenché une vague d’inquiétude publique.
Pour l’heure, ni Regina Daniels ni ses avocats n’ont répondu publiquement aux accusations de Ned Nwoko. Leurs propos laissent un couple sous pression médiatique, pris entre questions de violence conjugale et allégations de toxicomanie. Dans une telle situation, la ligne entre statut de victime et d’agresseur devient hautement contestée, tandis que nombreux sont les observateurs à réclamer transparence et protection des droits de chaque partie.
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La polémique place en lumière non seulement la vie privée d’un couple célèbre, mais aussi les dynamiques complexes entourant la célébrité, la toxicomanie et les responsabilités familiales. Elle alimente les discussions autour de l’impact des substances sur le comportement des individus, surtout quand ceux‑ci évoluent dans des contextes publics. L’affaire pourrait donner lieu à des enquêtes officielles tant sur les accusations de violence que sur la réalité des comportements décrits.
Dans tous les cas, la bataille médiatique est lancée et ne semble pas prête de s’éteindre. Les deux parties disposent d’importants soutiens, notamment dans la communauté du showbiz et parmi les défenseurs des droits des femmes.
La situation met aussi en exergue l’importance du droit à la présomption d’innocence, et le besoin d’un cadre légal robuste pour encadrer les conflits conjugaux à haute visibilité en particulier à une époque où une simple vidéo virale peut déclencher une crise de réputation majeure.
