Le procès aux assises des pilotes accusés du bombardement de la base militaire française de Bouaké, en Côte d’Ivoire, en novembre 2004, s’ouvre lundi à Paris. Les auteurs, en fuite, ne seront pas présents à l’audience. Ce qui n’empêche pas les parties civiles d’attendre, enfin, des réponses dans un dossier miné par la raison d’État.
Plus de seize ans après le bombardement de la base militaire française de Bouaké (Côte d’Ivoire), le 6 novembre 2004, la cour d’assises de Paris va enfin juger, à partir de lundi 29 mars, les trois pilotes accusés d’avoir perpétré l’attaque.
Lire la suite sur Mediapart