Ce n’est pas chaque jour que le Cameroun aura la chance d’avoir des personnes si dévouées et talentueuses dans tous les domaines. Dans le domaine de la communication, le Cameroun peut se vanter d’avoir Edithe Valérie Nguekam qui fait sa fierté au-delà des frontières nationales. Notamment du côté de la côte d’ivoire où son talent n’a pas tardé à être reconnu et exploité.
Grâce à une bourse de l’Union Européenne obtenue en 2016, Edithe Valérie Nguekam fera un stage au FEMUA au terme duquel elle sera validée. C’est à ce moment que l’aventure en côte d’ivoire débute effectivement. Ayant des idées innovatrices, et révolutionnaires concernant la communication de ce grand festival, elle gravira les échelons tout en apprenant une nouvelle forme de communication événementielle. Edithe doit ce succès et cette évolution à son amour pour le travail qu’elle fait et son dévouement extrême. Une chose qu’elle n’a pas oublié de mentionner lors d’une interview accordée à Etienne Talla, Blogueur et gérant de TALLART GROUP, une agence de communication dévouée à l’art dans sa généralité.
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Ce qu’on peut retenir de madame EDITHE VALERIE NGUEKAM
Avec tout le potentiel qu’elle seule représente, il est difficile de ne pas avoir de l’admiration. Installée actuellement en côte d’ivoire, cette dame a plusieurs casquettes, ce qui lui convient parfaitement.
En effet, Edithe Valérie est communicatrice événementielle, reporter pour plusieurs magazines en Afrique de l’Ouest et centrale, Rédactrice web pour plusieurs sites en ligne.
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Elle est également consultante pour la plateforme IJNET pour les reportages sur le journalisme en temps de crise. Ce n’est pas que cela qui fait d’elle la grande qu’elle est aujourd’hui car, elle est chargée de la production du Magazine Femua Mag, magazine du festival des Musiques urbaines d’Anoumabo, une rencontre culturelle organisée chaque année par le groupe Magic System et qui réunit les icones de la musique du continent.
Un magazine qui est son idée il faut le dire. Avant elle, ce grand festival créé depuis 2008 n’avait pas de Magazine. Pour un festival de cette carrure c’était inconcevable pour elle. A ce jour, Edithe a couvert à elle seule plus de 15 festivals à travers l’Afrique. Il faut noter qu’à la base, elle est une fervente passionnée de culture, et de tout ce qui touche au patrimoine culturel du monde.
Critique de cinéma, de mode, d’arts plastiques et membres du réseau des journalistes camerounais, elle est également Membre du réseau des professionnels de la presse en lige en Côte d’Ivoire.
Son secret ?
« Il faut être présente où les choses sont… présente où la culture se trouve »
conseille Edithe Valerie. C’est en ces quelques mots que sa réussite pourrait se résumer mais, il ne faut pas que cela. Interrogée par Etienne Talla, Edithe n’a pas hésité à donner quelques secrets. Des secrets qui peuvent être utiles à tous et dans tous les domaines. Pour elle, il faut travailler stratégiquement et toujours être prêt à montrer de quoi on est capable. Aussi, il faut cultiver de la patiente car, ça ne marche pas toujours du premier coup. Mais, toujours être prêt à montrer de quoi on est capable et la plus-value qu’on peut apporter.
Aussi, elle ajoute qu’il faut savoir prendre des risques et savoir que nos investissements ne peuvent pas parfois être récupérées.
« Parfois c’est un travail au prix de rien, il faut prendre sur toi de savoir que tu peux faire ce travail et tu n’es pas rémunéré et un beau jour quelqu’un reconnait ton travail… »
Déclarait Edithe Valérie Nguekam lors de l’interview réalisé en Côte d’Ivoire sur le site de la 12e édition du MASA (Marché des arts et du spectacle d’Abidjan). On peut donc comprendre pourquoi elle évolue de jour en jour.
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